Dans mes périples, il y a tout de même des régulières. Des femmes avec qui j'entretiens des relations régulières. Le felling passe bien et mon carnet d'adresse sans être un bottin digne de Don Juan, commence à avoir quelques lignes agréables.
La ligne Virginie est quand à elle plus qu'interressante. C'est une des meilleurs amies de mon ex. Depuis deux ou trois ans elle a déménagé loin de mon camp de base et à chaque passage dans sa ville, je ne manque pas de lui passer un coup de fil. Ange et démon la caractérise bien. Blonde de 1,80m, une petite pointrine, un petit cul magnifique et un visage doux. Elle peut être une maîtraisse douce, pleine d'attention et à la recherche de tendresse comme ne vouloir de la pure baise, vorace, vulgaire voir violante. Mais c'est la roulette russe, on ne sait jamais comment cela va se passer et elle aime ce pouvoir.
Divorcé également, un petit garcon en garde partagé, ce qui arrange bien nos entrevus. Elle a décidé à son divorce que pour elle, les hommes ne seraient que pour une nuit, plus t'attache. Je suis le seul à avoir le droit aux deux soirs de suite.
Ce mardi s'est vraiment mal passé. Une sale journée au boulot comme seul j'en ai le secret. Un client mal luné, mon équipe au radar. Le résultat dans ce cas est imuable, on prend du retard et pour pas changer on termine à 23H. J'adore surtout quand j'ai rendez vous ensuite. J'arrive donc chez Virginie vers minuit. Elle s'endormait devant la télé et la soirée qui devait être génial commence par une petite moue sur ce doux visage. Et je ne sais pas trop comment m'y prendre avec cette belle femme qui pour le coup commence sérieusement à m'exciter avec son tee shirt trop grand pour elle. Ce tee shirt qui laisse découvrir son cul à chaque pas, ce tee shirt qui laisse imaginer ses seins.
Elle m'offre un café et enfin le baisé que j'aime. Doux, délicat, chaud. Elle ôte ma cravate, dégraffe ma chemise. Nos regards se croisent et j'aime cet air qu'elle a dans le regard. Cette air qui lui donne un air enfant. Je crois à cet instant que la nuit sera douce. Rapidement, cravate & chemise sont au sol. Elle commence à dégager ma queue. Elle me branle avec douceur en m'embrassant avec ce baiser chaud. J'attend presque qu'elle me suce avec cette même douceur. Elle n'est pas vraiment doué pour cela. Toujours trop rapide et violent. Mais bon. Alors qu'elle continue à me branler, je vois son visage changer. Plus de regard doux, elle se ferme un peu. Elle arrête de me branler et me dit:
"je t'ai trop attendu, je me suis masturbé trois fois en t'attendant, alors tu vas me baiser comme une chienne! Tu m'entend, baise moi!".
Nous avons souvent des relations un peu fortes. Dur voir un peu violentes mais jamais elle ne m'avait demandé ce genre de chose. Ce type de propos n'est pas annondin, il demande de la baiser la dame comme il se doit.
Sans me faire prier, je me lève, enlève pantalon et boxer, pose mes préservatifs à porté de main, enlève le tee shirt de Virginie qui est resté assise et lui annonce avec violance: "je vais te baiser si tu le veux, je vais te faire jouir comme une salope, tu vas crier comme une chienne! Pour ce soir, tu m'appartiens, tu vas faire ce que je te dis! Pour commencer, suce moi comme une chienne! Je veux sentir ta langue!". Sans dire un mot, elle regarde ma queue, puis la prend en bouche. Pour maintenir un rythme adapté, je l'attrappe par les cheuveux. La tenir ainsi me permet non seulement de garantir la cadence mais également me permet de regarder cette femme me sucer. C'est je dois dire un vrai plaisir en soi pour moi. J'aime regarde l'autre me sucer. Sans doute un sentiment de maitrîse mélangé au plaisir que cela procure. La felation est bonne, j''aime cette bouche qui m'avale. Elle a commencé à se masturber. Je vois sa main disparaître entre ses cuisses. Virginie semble aimer me donner ce plaisir et redonne de l'entrain en me demandant: "tu aimes me voir te sucer comme une pute? C'est bon?". La réponse fut mécanique et dépassa mes pensées: "oui, salope! oui tu suce bien et je vais te baiser comme un salope!". Je lui donne un préservatif qu'elle s'empresse de me mettre. Une fois fait, je l'attrappe par le bras pour la relever. Nos corps sont à quelques centimères. Je joue avec la pointe de son sein, je le pince, tire dessus, je vois ces yeux se fermer. Toujours avec une grande fermeté, je la retourne et pousse sur le canapé. Tombé, je m'empresse de lui relevé le cul. "Tu veux que je te baise, alors profite, je vais te défoncer! Tu vas jouir comme une pute". Je pose une main sur une de ses fesses et de l'autre la pénétre de deux doigts. Un cri fuse. Sa chatte est humide et chaude mais étroite. Mes doigts vont et viennent et elle ne manque pas de me donner des indications sur son plaisir: "oui, c'est bon, je vais jouir". C'est ce que je veux. Je veux l'emmener juste avant la jouissance. Je veux lui donner autre chose. "t'inquiète tu vas jouir salope, sale petite pute!" Alors que ces indications ne sont plus que des cris, je ressort mes doigts et: "maintenant tu vas vraiment jouir salope!". Avec rapidité je lui place ma queue à l'entrée de son cul: "tu vas jouir comme une chienne, je vais t'enculer comme une pute"! Elle a bien esquissé un non mais sans lui laisser vraiment le temps, avec violance, juste en salivant sur mon gland, je l'a penettre: "tu voulais te faire baiser, moi je te baise comme une pute! Tu aimes ca salope"? Les cris sont fort mais elle m'attrappe à deux mains les fesses pour que je la pénétre encore plus. Mes va vient se font plus rapide, elle crit qu'elle aime et moi de lui répondre: "tu veux te faire baiser, tu veux te faire prendre comme une chienne, alors prend, j'adore te défoncer le cul, salope!". Le plaisir ne tarde pas à venir et je voulais finir de l'humilier y prenant désormais gout. Je me suis sorti aussi violament qu'a l'entrée, assis à coté d'elle, j'ôte ma capote, lui attrappe les cheveux pour qu'elle vienne me sucer encore. Je jouis en premier sur ses seins, arrosant ses têtons, entre les seins. Puis une fois encore, mes mots vont plus vite que ma pensée: "lèche moi salope! allez sale pute! Obéis". Elle s'éxécute. Sa langue se pose à la base de ma queue et remonte jusqu'au gland pour en faire le tour. Plus une goutte.
Elle se relève, me regarde avec un sourire et me dit: "tu devrais me faire cela plus souvent". Puis se sauve se laver. Je viens de l'enculer pour la première fois, elle avait toujours refusé.
Ce soir, nous dinons ensemble.