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  • : Je suis divorcé et sur la route toute la semaine. Il y a longtemps que j'ai découvert qu'il était possible de rencontrer des femmes pour un soir ou plus. Voici le récits de mes rencontres et pourquoi pas les votres. wokidoki@free.fr
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Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 11:39

Dans mes périples, il y a tout de même des régulières. Des femmes avec qui j'entretiens des relations régulières. Le felling passe bien et mon carnet d'adresse sans être un bottin digne de Don Juan, commence à avoir quelques lignes agréables.
La ligne Virginie est quand à elle plus qu'interressante. C'est une des meilleurs amies de mon ex. Depuis deux ou trois ans elle a déménagé loin de mon camp de base et à chaque passage dans sa ville, je ne manque pas de lui passer un coup de fil. Ange et démon la caractérise bien. Blonde de 1,80m, une petite pointrine, un petit cul magnifique et un visage doux. Elle peut être une maîtraisse douce, pleine d'attention et à la recherche de tendresse comme ne vouloir de la pure baise, vorace, vulgaire voir violante. Mais c'est la roulette russe, on ne sait jamais comment cela va se passer et elle aime ce pouvoir.
Divorcé également, un petit garcon en garde partagé, ce qui arrange bien nos entrevus. Elle a décidé à son divorce que pour elle, les hommes ne seraient que pour une nuit, plus t'attache. Je suis le seul à avoir le droit aux deux soirs de suite.
Ce mardi s'est vraiment mal passé. Une sale journée au boulot comme seul j'en ai le secret. Un client mal luné, mon équipe au radar. Le résultat dans ce cas est imuable, on prend du retard et pour pas changer on termine à 23H. J'adore surtout quand j'ai rendez vous ensuite. J'arrive donc chez Virginie vers minuit. Elle s'endormait devant la télé et la soirée qui devait  être génial commence par une petite moue sur ce doux visage. Et je ne sais pas trop comment m'y prendre avec cette belle femme qui pour le coup commence sérieusement à m'exciter avec son tee shirt trop grand pour elle. Ce tee shirt qui laisse découvrir son cul à chaque pas, ce tee shirt qui laisse imaginer ses seins.
Elle m'offre un café et enfin le baisé que j'aime. Doux, délicat, chaud. Elle ôte ma cravate, dégraffe ma chemise. Nos regards se croisent et j'aime cet air qu'elle a dans le regard. Cette air qui lui donne un air enfant. Je crois à cet instant que la nuit sera douce. Rapidement, cravate & chemise sont au sol. Elle commence à dégager ma queue. Elle me branle avec douceur en m'embrassant avec ce baiser chaud. J'attend presque qu'elle me suce avec cette même douceur. Elle n'est pas vraiment doué pour cela. Toujours trop rapide et violent. Mais bon. Alors qu'elle continue à me branler, je vois son visage changer. Plus de regard doux, elle se ferme un peu. Elle arrête de me branler et me dit:
"je t'ai trop attendu, je me suis masturbé trois fois en t'attendant, alors tu vas me baiser comme une chienne! Tu m'entend, baise moi!".
Nous avons souvent des relations un peu fortes. Dur voir un peu violentes mais jamais elle ne m'avait demandé ce genre de chose. Ce type de propos n'est pas annondin, il demande de la baiser la dame comme il se doit.
Sans me faire prier, je me lève, enlève pantalon et boxer, pose mes préservatifs à porté de main, enlève le tee shirt de Virginie qui est resté assise et lui annonce avec violance: "je vais te baiser si tu le veux, je vais te faire jouir comme une salope, tu vas crier comme une chienne! Pour ce soir, tu m'appartiens, tu vas faire ce que je te dis! Pour commencer, suce moi comme une chienne! Je veux sentir ta langue!". Sans dire un mot, elle regarde ma queue, puis la prend en bouche. Pour maintenir un rythme adapté, je l'attrappe par les cheuveux. La tenir ainsi me permet non seulement de garantir la cadence mais également me permet de regarder cette femme me sucer. C'est je dois dire un vrai plaisir en soi pour moi. J'aime regarde l'autre me sucer. Sans doute un sentiment de maitrîse mélangé au plaisir que cela procure. La felation est bonne, j''aime cette bouche qui m'avale. Elle a commencé à se masturber. Je vois sa main disparaître entre ses cuisses. Virginie semble aimer me donner ce plaisir et redonne de l'entrain en me demandant: "tu aimes me voir te sucer comme une pute? C'est bon?". La réponse fut mécanique et dépassa mes pensées: "oui, salope! oui tu suce bien et je vais te baiser comme un salope!". Je lui donne un préservatif qu'elle s'empresse de me mettre. Une fois fait, je l'attrappe par le bras pour la relever. Nos corps sont à quelques centimères. Je joue avec la pointe de son sein, je le pince, tire dessus, je vois ces yeux se fermer. Toujours avec une grande fermeté, je la retourne et pousse sur le canapé. Tombé, je m'empresse de lui relevé le cul. "Tu veux que je te baise, alors profite, je vais te défoncer! Tu vas jouir comme une pute". Je pose une main sur une de ses fesses et de l'autre la pénétre de deux doigts. Un cri fuse. Sa chatte est humide et chaude mais étroite. Mes doigts vont et viennent et elle ne manque pas de me donner des indications sur son plaisir: "oui, c'est bon, je vais jouir". C'est ce que je veux. Je veux l'emmener juste avant la jouissance. Je veux lui donner autre chose. "t'inquiète tu vas jouir salope, sale petite pute!" Alors que ces indications ne sont plus que des cris, je ressort mes doigts et: "maintenant tu vas vraiment jouir salope!". Avec rapidité je lui place ma queue à l'entrée de son cul: "tu vas jouir comme une chienne, je vais t'enculer comme une pute"! Elle a bien esquissé un non mais sans lui laisser vraiment le temps, avec violance, juste en salivant sur mon gland, je l'a penettre: "tu voulais te faire baiser, moi je te baise comme une pute! Tu aimes ca salope"? Les cris sont fort mais elle m'attrappe à deux mains les fesses pour que je la pénétre encore plus. Mes va vient se font plus rapide, elle crit qu'elle aime et moi de lui répondre: "tu veux te faire baiser, tu veux te faire prendre comme une chienne, alors prend, j'adore te défoncer le cul, salope!". Le plaisir ne tarde pas à venir et je voulais finir de l'humilier y prenant désormais gout. Je me suis sorti aussi violament qu'a l'entrée, assis à coté d'elle, j'ôte ma capote, lui attrappe les cheveux pour qu'elle vienne me sucer encore. Je jouis en premier sur ses seins, arrosant ses têtons, entre les seins. Puis une fois encore, mes mots vont plus vite que ma pensée: "lèche moi salope! allez sale pute! Obéis". Elle s'éxécute. Sa langue se pose à la base de ma queue et remonte jusqu'au gland pour en faire le tour. Plus une goutte.
Elle se relève, me regarde avec un sourire et me dit: "tu devrais me faire cela plus souvent". Puis se sauve se laver. Je viens de l'enculer pour la première fois, elle avait toujours refusé.

Ce soir, nous dinons ensemble.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 14:21

Je suis ce que l'on appelle un voyageur. Je parcours la France pour mon job. Je pars le Lundi en fin d'après midi et je rentre le vendredi soir. Métier passionnant et prenant (la grande distribution) mais qui offre certaines libertés et surtout des rencontres. Quelles soient au travail ou le soir dans ce monde fabuleux des hotels de tous autres et de tous horizons.
J'ai des centaines de récits passés et futurs à vous raconter. De rencontres d'un soir ou que j'entretiens depuis de nombreuses années. Car j'ai découvert, depuis longtemps, que sortez de votre contexte familiale habituel et vous allez vous autoriser des choses auquel vous n'auriez jamais pensé.

Mon premier récit, mercredi dernier à DAX.
Pour ce premier récit, je triches un peu. Je commence par une ville que j'aime beaucoup. Dax est sans doutes une des villes où il fait bon vivre, les personnes qui viennent là, même pour le boulot, sont détendues. J'aime cette ville et je viens trois à quatres fois pas ans pour des séjours d'une semaine en général. Aujourd'hui, c'est plus court, seulement deux jours. Donc, le boulot rapidement expédié, je me faisais fort, ce mercredi d'aller me balader dans la ville pour aller boire un petit verre dans le centre avec mon équipe.
Mais c'était d'un calme à faire peur, pas grand monde et surtout pas très sympas alors on décide de revenir à mon hotel, dépités. J'avale rapidement mon diné avec mes chérs(es) assistants(es) et annonce que je vais aller rédiger mon rapport dès la fin du dessert. Oui, précision sans importance, en déplacement, je me déplace avec 2 ou 3 personnes. Pas toujours les mêmes, je dirige une équipe de 14 personnes.
Seulement une fois dans ma chambre, pas envie de bosser, pas envie de regarder la télé et pas envie de lire. Alors je vais faire un tour au bar, histoire de boire un truc bien alcolisé pour m'assomer. Une fois là bas, je commandes le Cognac et je regarde autour de moi. Deux bons vieux commerciaux parlent du temps où ils étaient jeunes et beaux, deux vieux beaux en costards du dimanche parlent affaires en regardant une jeune femme isolée au bout du bar devant un café. Une petite trentaine, brune, une juppe et un chemisier, l'oreille vissée à son mobile. Fort jolie et un peu mistérieuse. Une gorgée de ce fameux Cognac et je m'apporche une fois son mobile rangé dans son sac. "Bonsoir, je n'arrive pas à dormir. Un peu de compagnie vous serai-t-il plaisant?". J'adore cette phrase. Elle ne veut pas dire grand chose mais elle est tellement belle, en plus, il faut toujours quelques secondes pour la comprendre ce qui laisse le temps d'embrayer sur autre chose. La discussion commence, elle n'est là que pour ce soir, pour venir voir sa mère aux thermes de Dax, elle a laissé mari et enfants à Paris. Il y a un moment précis où l'on voit certaines choses chez l'autre. Ce moment où elle ouvre la porte de ses envies. Nous discutions de rien et de tout et elle commence à dire qu'elle va aller se coucher en m'affirmant qu'elle a aimé notre conversation tout en indiquant qu'elle aimerait qu'elle se poursuive. Mais que diable: "je vais également me coucher, je vous suit".
Une fois dans l'ascenceur, un premier regard puis un baiser, chaud. Puis un "NON, il ne faut..." Mais un second baiser et nous voilà arrivé. Je la précéde en prenant sa main et la clef de sa chambre. Arrivé à la porte, sans hésiter, je l'ouvre, j'entre, elle est dérrière moi, elle ferme.
Les premiers baisers sont encore plus chaud. Debout devant le lit, mes mains lui carresse les fesses, remontent dans son dos, puis redescendent pour remonter sa juppe. Mes mains carressent désormais cette peau douce de ces hanches et de ces fesses. Avant que je n'alles plus loin, elle ouvre ma chemise, pose ses lèvres sur mon torce et descend. Elle ouvre mon pantalon et commence une felation douce, lente. Elle prend soin de faire tourner sa langue sur mon gland en me masturbant d'une main et en caressant mes couilles de l'autre. Elle va et vient en douceur. Le moment est magique. D'autant que, lumière allumée, je pouvais la voir se déshabiler, admirer ses formes, ses seins qui pointaient déjà, ses fesses bronzées, ses cuisses sprotives. Je commence à bander sérieusement. Elle a réussit à me faire gonfler d'envie dans sa bouche comme peu le font.
Attendant le moment de lui rendre la pareille, je la regarde avaler ma queue. Mais elle ne l'entendait pas de cette oreille. Elle me demanda simplement un préservatif. Elle le posa avec cette même douceur. Elle se retourna sur le lit sans lacher ma queue et m'annonca: "viens me baiser!". Difficile de dire non. J'ai donc commencé à lui enfoncer ma queue. En premier lieu doucement, sans rien brusquer puis au premieres réactions, j'ai accéléré le rythme. J'ai aimé la prénétrer fort en lui attrapant les épaules pour aller au plus profond, lui claquer les fesses en lui tenant les cheveux, lui pincer le bouts des seins pour lui arracher des plaintes positives. C'est bon de voir une femme jouir. A chaque fois que ma queue allait et venait, je voyais ce cul. L'envie était forte de lui mettre. Pour ne rien brusquer, sans arrêter, je commencais par lui mettre un pouce. Elle semblait ne pas être contre donc je décidais de lui mettre. Serré, frais, elle ne semblait pas avoir déjà essayé cela. Ces cris étaient un mélange d'envie et un peu de peur puis plus un mot. Les instants suivants furent sans un mot puis: "putains, baise moi fort, met la moi comme une chienne!". Je n'attendais que cela, Je lui ai mise en une fois, en lui claquant de nouveau les fesses et lui annoncant fiérement; "attend salope, tu vas aimer te faire baiser!". L'enculer comme cela à été un pure moment de plaisir. Alors que j'allais lui jouir sur le cul. Elle se retourna, enleva ma capote et me suca encore. Je lui ai jouis dans la bouche dans un moment fabuleux. Elle ne laissa pas une goute, la voir faire été tout aussi jouissif.
Elle aimait tout simplement baiser. Après deux autres scéances dont une de cuni que je vous raconterai sans doute un jour. Nous avons un peu discuté. Elle aime son mari mais marié depuis 12 ans, sa vie sexuelle n'est plus vraiment que l'ombre d'elle même. Alors que ses envies se font précises, son mari n'a plus que de l'envie hygiènique, cela la déséspère. Notre nuit était pour elle un moment interdit de ses fantasmes.
Nous avons échangé nos numéros me promettant de m'envoyer un texto à son prochain déplacement ou moment de libre.

Une bonne nuit comme je les aime

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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