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  • : Je suis divorcé et sur la route toute la semaine. Il y a longtemps que j'ai découvert qu'il était possible de rencontrer des femmes pour un soir ou plus. Voici le récits de mes rencontres et pourquoi pas les votres. wokidoki@free.fr
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Mercredi 15 novembre 3 15 /11 /Nov 00:47

Horreur, je n’ai pas touché de cigarettes depuis Lundi matin de la semaine passé. Dans un cérémoniale de fou, devant mon café, avec en musique de fond KT Thunstall, j’ai fumé ma dernière cigarette. Pas que l’envie d’arrêter soit forte mais mon médecin me soule depuis plus d’un an et mes dernières analyses de sang vont dans ce sens. Alors…

 

 

Toujours est-il, je suis sur les dents. Mes chers collaborateurs ont dérouillé sec depuis lundi. Je suis d’une humeur digne du Conte Drac dans ses mauvais jours.

 

 

C’est ma troisième tentative. La première avec le médicament qui te rend dépressif, la seconde avec les patchs et donc tu es shooté toute la journée. Cette fois, c’est à la dure, rien pour m’aider, juste passer mes nerfs sur mes collaborateurs. Les pauvres, demain au déjeuné, je vais les inviter dans un bon restaurant, histoire de me faire pardonner.

 

 

Les deux vrais problèmes, c’est le risque de prise de poids et le manque de sommeil. J’ai donc acheté des gâteaux coupe faim. Mais hors de question de prendre un médicament pour le sommeil.

 

 

Je vais me forcer à courir tous les matins. Et quand je trouve un hôtel avec piscine je fais des longueurs avant d’aller dîner. Mais je ne dors toujours pas.

 

 

Ce soir, je ne suis pas seul. Joyce dort pour l’heure. Après deux corps à corps quelque peu musclés, je la laisse se reprendre. Rien ne presse. C’est une régulière. C’est sans doutes une des plus anciennes. Nous étions ensemble à 20 ans. Cela n’a pas duré, c’était purement physique et cela est resté ainsi. Elle vit désormais avec une femme depuis quatre ans et elle est ingénieur dans l’environnement. Ce n’est pas un canon de beauté. Elle est châtain, yeux verts, assez fine mais également sans forme, pas de seins, pas de fesses et une grande gueule. Du moins elle a beaucoup de caractère. Pour rentrer dans le vif du sujet, elle ne vient pas chercher de l’amour mais du sexe bestial. Rien d’autre. On baise, on jouit et elle s’endort.

 

 

Ce soir, pas de changement à nos habitudes. Nous avons dîné avec mon équipe et nous nous sommes éclipsés au dessert. Une fois dans ma chambre, elle s’est rapidement déshabillée tout comme moi, direction le lit sans lumière. Elle a horreur de la lumière. Beaucoup de nos rencontres commencent de la même façon, mais les habitudes ont du bon, elle me suce. Je me trompes peu être, nous n’en avons jamais parlé, mais j’ai toujours l’impression qu’elle prend un vrai plaisir à le faire. Sa langue, ses lèvres et ses mains explorent mon sexe. Elle connaît ces points si sensibles me permettant d’avoir des sensations en quelques secondes. Avis aux femmes soucieuses de ces détails, à la base du gland, le passage de votre langue en douceur accompagné du mouvement doux de vos lèvres et de votre main occasionnent un moment magique.

 

 

Pas besoin de mot, pas besoin de geste, restant dans cette position de pacha, allongé sur le dos, elle vient attraper un préservatif, l’enfile et vient se poser sur moi. Elle joue avec ma queue, elle joue avec son clito, son visage s’ouvre. Elle aime jouer ainsi, elle ne manque pas de le faire. Mais l’envie de s’enfoncer cette queue est toujours forte. Elle est à genoux sur moi, pose ses mains en arrière sur mes cuisses. La position, pour les connaisseurs, c’est Andromaque. Cela me permet de jouer avec ses petits seins. J’aime jouer et l’entendre crier quand je lui pince ses tétons. Ces cris sont le premier signal qu’elle est prête pour aller plus loin. Je commence, comme toujours, par lui gifler une fesse. Le bruit, la sensation et son cri sont comme le second signal. Joyce est un peu sado-maso. Je dis un peu sado-maso car pas de fouet, pas de tenus cuir ou autres et surtout pas de rituels. Mais elle aime mélanger plaisir sexuel et une certaine forme de douleur. Je ne suis pas contre parfois et je n’allais pas lui refuser.

 

 

La meilleure position, à mon sens, c’est la levrette. Elle permet un large contrôle des événements, je reste le maître. Elle ne cherche pas à savoir, elle se met à quatre pattes rapidement et joue avec ses doigts. La pénétration se doit d’être violente. Elle est bien humide. La pénétration est profonde. Je m’attarde bien au fond. A chaque fois, je la fesse, de plus en plus fort. Les fesses sont rouges. Guidé par ses cris, je force le rythme. Je lui attrape les cheveux de la main gauche, la fesse de l’autre. La position me permet d’avoir un total contrôle et de continuer régulièrement de la fesser. Elle en crie. Elle ondule. Je la pénètre une dernière fois, les fessés sont des va et vient d’une fesse à l’autres. J’aime quelque part ce contrôle sur sa douleur. Elle crie, supplie, je la fesse et les pénétrations sont toujours aussi profondes. Jouir est pour moi digne du meilleur film porno. Je me retire, me masturbe en attendant qu’elle se retourne. Elle ôte mon préservatif, me prend à pleine bouche et me extirpe un crie de jouissance. Je la regarde dans la lueur de la nuit, elle sourit.

 

 

 

 

 

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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