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  • : Je suis divorcé et sur la route toute la semaine. Il y a longtemps que j'ai découvert qu'il était possible de rencontrer des femmes pour un soir ou plus. Voici le récits de mes rencontres et pourquoi pas les votres. wokidoki@free.fr
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Dimanche 10 décembre 7 10 /12 /Déc 01:40

Natacha, un bureau, une jupe…

 

Je sors d’une réunion d’un club. En deux mots, il s’agit de réunion où l’on rencontre d’autres professionnels. Le but est de rencontrer de futurs clients ou fournisseurs. Disons que c’est du speed dating pro. Assez efficace dans son ensemble.

Il faut bien reconnaître que j’ai été surpris d’y retrouver une de mes anciennes collaboratrices, Natacha. Inutile de se le cacher, c’est une belle slave. Grande, plus que moi, même sans ses talons immenses, blonde feu, yeux bleues, un visage d’ange, une belle petite poitrine, une paire de jambes immenses et des petites fesses bien hautes. Je ne suis pas fana de ce type de femme. Belle voir très belle mais peu de charme. Attirante mais peu enivrante. Elle est belle mais j’ai toujours eu du mal à imaginer une relation avec ce type de femme. Je dois devenir difficile ou très con.

Toujours est-il que nous avons travaillé ensemble. Pendant 2 ans elle a été une de mes chefs d’équipe. Ce n’était vraiment pas la meilleur et lorsqu’elle m’a annoncé son départ, je l’ai pris presque avec joie. Nous nous amusions à jouer du regard tous les deux. Nous nous amusions à nous effleurer. Nous nous amusions à finir nos appels téléphoniques par des silences, par des formules qui pouvaient laisser croire bien des choses. Mais tout cela sans jamais le consommer. C’était un vrai jeu. A cette époque, j’avais un bureau sur Paris. Tous les lundis, j’étais là bas et je voyais à tour de rôle mes chefs d’équipe. Cela durait des heures et pouvait finir très tard. Pour le départ de Natacha, nous avions prévu de finir, lors de son dernier lundi, par une petite réunion pour précéder son départ, histoire de faire le tour de ses dossiers. C’est vers que nous nous sommes retrouvé dans mon bureau. Un bureau bien sommaire. Une pièce d’environ 4m par 4m, une armoire, un bureau et une petite table de réunion avec 4 chaises. Une fois à cette table de réunion, elle dispose l’ensemble de ses dossiers en cours et nous commençons à faire le tour. Viens un dossier qui me tient à cœur, celui d’un ami. Là, les choses ne sont pas au beau fixe. Elle part dans des explications vaseuses pour expliquer son retard dans ce dossier. Je suis clairement excéder et de savoir qu’elle s’en fiche de part son départ me met hors de moi. Ma colère gronde et je dois avouer que je ne suis pas des plus agréable et délicat une fois dans cet état. Elle en joue. Elle me regarde avec ses grands yeux, me sourit, joue avec son stylo, le fait glisser délicatement entre ses seins dans son décolleté. Alors que je suis en pleine colère, je lâche : « j’ai envie de te claquer ! ». Cette phrase est plus que anodine sur le coup. Phrase jetée pour exprimer mon énervement mais qui eu le mérite d’attirer l’attention de Natacha : « que dis tu ? ». « Arrête je suis énervé ! Je ne rigole pas ! ». « Je ne rigole pas, il faut me punir ! ». La voir se lever, se planter à ma droite en posant les mains sur la table en relevant son fessier était sans équivoque. « Montre moi que tu es encore mon boss ! ». Je ne sais pas trop comment réagir. Oui, je suis plutôt enclin à lui donner ce qu’elle demande. Pourquoi pas. Je relève sa jupe de la main droite et découvre son string. De la main gauche, je feuillette le dossier devant moi. Ma main vient à la rencontre de sa fesse droite. La claque est douce et me permet de découvrir la douceur de sa fesse. La seconde plus forte, accompagné de « c’est pas bien de ne pas faire son job ! ». La claque suivante est encore plus forte. Le son est claire : « tu dois faire ce que je te dis ! ». Je me lève, me pose derrière elle. De ma main gauche je lui tiens le fessier, la main droite claque encore plus fort, moins que la suivante ou celle d’après. Sa fesse est rouge. Chacune des dernières fut commentés par des petits cris. Je prends un grand plaisir à caresser cette fesse. Elle ne dit rien mais elle se dandine devant moi. Je change de fesse. Mais le rythme est rapide. Je lui claque rapidement, fort. Elle crie. J’aime la sensation de force, le fait de lui tirer des cris, j’aime cette sensation de pouvoir consommé, j’aime la sentir soumise. J’aime la sentir à moi sans histoire de sexe. J’aime la sentir soumise et accepter cette fessée par plaisir. Ses deux fesses sont rouges sang et je viens me rassoire. Je l’a regarde. Elle est immobile, elle attend un signal. Je lui donne de la main. Elle sort de mon bureau.

Nous n’avons jamais reparlé de cela. Mais nos regards sont chauds mais je garde ce souvenir. Bien meilleur.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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