Vendredi 29 septembre
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11:54
Hier, passage dans la capital. Je n'aime pas trop Paris. J'ai vécu là pendant dix ans. J'ai fondé une famille ici. Mes enfants ont commencé leur vie ici et les voir désormais grandir en province est un grand bonheur. Mais revenir de temps en temps me permet de revoir mes anciens collègues, mes amis et de toutes les façons je suis bien obligé. Mon siège est là.
Mon grand plaisir est tout de même de passer voir mes anciens collègues que j'ai quitté voilà 5 ans. Je suis partie en bon terme, je voulais juste voir autre chose. Le rituel est toujours le même. J'arrive dans leur bureau vers 18 ou 19h et on finit au bar à vin à 10 ou 15 à boire du très bon vin. On se raconte nos petites histoires familliales, on se parle des clients que l'on s'est volé et on finit par les histoires de cul. C'est bon enfant même si je pense que nos clients auraient du mal à nous imaginez ainsi, cette bande de cadre sup, quelques centaines d'années d'étude à nous tous entrain de parler de cul comme des lycéens un verre de vin à la main, cravates défaites affalés sur des fauteuils. Top. Une autre raison pour laquelle j'aime cela est plus professionnelle, mon anciène boite adore les stagiaires. En permanence, entre 4 et 10 stagiaires qui réalisent le gros du boulot. C'est un vivier de jeunes recruts pour mon entreprise. Alors comme d'habitude, je me place à coté des stagiaires qui nous ont suivi. 2 gars et une très jeune femme.
Le premier, le modèle standart de l'école de commerce. Les dents sur le sol, très frais et dans un costume à 1500? qu'il doit remettre tous les jours au regard des 400? qu'il gagne par mois. Le second, plus discret mais très incisif dans ses phrases et réflexions. Un bon, cela se sent. Il faut que je pense à lui donner ma carte. La dernière m'intrigue. Elle parait très jeune. Au premier abord, pas plus 18 ou 19 ans. Je me retourne donc vers ma sublissime anciéne assistante Ange et lui demande des infos. Petites explications, Malaurie est une surdouée, Bac à 14 ans, entrée en école de commerce à 15 ans, anciéne champione de gym et une visage magnifique et comme je le pensais, pas encore 19 ans. Membre de la famille d'un de mes anciens patrons. Justement le seul qui n'est pas vraiment accepté mon départ et qui ne manque jamais de me le faire remarquer à chacune de nos rencontres. Mon premier élan fut purement professionnel. Je n'ai jamais aimé les écarts d'âge entre mes conquètes et moi. J'ai toujours priviliégé les relations d'âge équivalente, parfois 4 à 5 ans de plus ou de moins mais rarement plus. Une fois plus quand j'étais plus jeune avec la mère d'un pote mais jamais beaucoup moins. Une aversion totale pour la pédo me pousse à rester dans la marge de mon âge. Donc j'engage la conversation avec cette jeune demoiselle sur le fondement de ses envies professionnelles. Posée, mature dans ses phrases mais encore gauche dans l'organisation de ses idées trahit sont âge. Pas encore l'habitude de ce type de conversation et un peu ennervé de devoir discuter avec moi. Je le sens et je finis par poser la question: "votre oncle vous aurai-t-il parlé de moi? Vous n'avez pas l'air d'apprécier ma compagnie." "Non, c'est pas ça et je hais mon oncle, il est con. Mais j'ai travaillé dur pour gagner un marché et c'est vous qui l'avez eu. Ca m'énnerve. Je ne sais pas où j'ai fait une erreur". Aie! Elle ne me connait que de nom et c'est pas dans le bon sens. "Si on parle du même, j'avais le marché avant même de commencer, les relations sont plus importantes que les bonnes propositions dans ce métier. Vous devez vous faire un nom. C'est plus important que le reste. Je peux vous apprendre si vous le souhaitez, ce n'est pas très compliqué." Son visage, fermé depuis le début s'illumine d'un large sourire. Elle est magnifique. Une douceur fantastique, un regard bleu dans lequel on a tous envie de ce perdre, une cheveulure blonde tombant sur les épaules réhausse le tout. Je tombe sous le charme. La discussion s'éternise. Je lui explique les ficelles d'un bon réseau. Les personnes à rencontrer et où le faire. Ses questions fusent et la table se vident un à un de ses convives. Il ne reste plus que Ange qui discute le bout de gras pour une augmentation avec son nouveau chef. Rapidement, il ne reste plus que nous deux. Je paye (merci les copains pour ces bouteilles Bordeaux de crus classés) et l'invite à diner pour finir cette conversation et on part donc au restaurant deux rues plus loin. En se levant, je remarque le physique élancé, anciene gymnastique. Elle est réellement magnifique. La conversation est des plus constructives, le repas succint et après quelques cafés, lui propose de la racompagner. Elle loge chez tonton au dessus des bureaux un peu plus loin. On commence à marcher tout en discutant. J'ai une vrai envie de cette femme. Mais comme un gosse, je ne sais pas comment l'aborder plus avant. C'est elle qui ouvre le bal. "Vous logé où à Paris?" La question est des plus directe. "A l'hotel juste devant vous, je ne suis resté à Paris que pour passer voir les copains, sinon je rentrais ce soir". "Vous m'invitez ou je m'invite?". Là, je reste un peu bête. J'ai envie de cette fille, elle est magnifique. Mais elle est très jeune. Mes jeux sexuels ne sont pas vraiment pour une fille de cet âge. Mais l'envie est trop forte. On presse le pas en direction de mon hôtel.
Le temps de monter l'ecalier, ouvre rapidement la porte, rentrer, fermer cette porte et nous voila face à face. Après un baiser doux, empreint de jeunesse. Souvenez vous des baisers de vos 18 ans, ils ne sont pas les mêmes que ceux d'aujourd'hui. Plus doux, chaud au sens propre. Avec douceur j'ouvre les premiers boutons de son chemisiers, elle m'imite et ma veste glisse au sol. Ma main se glisse dans son chemisier et viens effleurer son sein. Il est doux, ferme, juvénile et je sens au travers de son sous vêtement la pointe se durcire. Je l'imagine pour l'heure magnifique. Elle m'imite, pose sa main sur mon torce, joue de la même manière. Je continue à défaire ses boutons et je lui enlève ce chemisier, dégraffe le soutien gorge et commence à vraiment jouer avec ce têton désormais dure comme de la pierre. Ce sein est magnifique, ferme tout en rondeur et mais également pas très gros. Un sein d'enfant. Ma chemise est également tombée. Nos corps ne frolent plus désormais, le contact est complet et je l'aime. Elle est douce, c'est magique. C'est elle qui m'enlève mon pantalon. C'est elle qui enlève le sien et qui me laisse poser ses mains sur ses fesses. Son string de dentelles noires laissent tout loisir pour carresser ses fesses musclées. Alors que n'avions pas encore dit un mot, je l'entraine sur le lit. La lumière douce de l'entrée de la chambre restée allumée diffuse dans toute la pièce. Allongé tous les deux, baisers, caresses sont emplis de douceur et de tendresse. Allongé sur dos, je peux regarder les formes de ma partenaire qui met toute sa douceur à me carresser et embrasser toutes les parties hautes de mon corps. Elle descend désormais. Comme je l'ai déjà ecrit, je n'aime pas les felations mal faites. Je préfère le rien à une mauvaise. Doutant sur ses capacités vu son âge, je tente de lui faire comprendre en l'entrainant sur le coté, elle résiste. "Tu m'as appris comment se créer un réseau, apprend moi comment on succe!". La tournure est assez comique. Cette gosse est entrain de ce payer un "ancien" comme prof. Pas de problème. Elle sort ma queue alors que je commence à bander, pose ses lèvres sur mon gland. De la main droite, j'attrape ma queue par sa base pour lui mettre dans la bouche, de la main gauche je vais guider le rythme. Je redresse ma queue, lui présente aux lèvres et lui fait avaler les deux ou trois premiers centimètres. "ta langue doit me caresser le gland". Elle s'écécute. Sa langue me caresse douceument, pas de précipitation. Je lui relève la tête de ma main gauche, ma queue ressort de sa bouche. Elle en profite pour me lécher le bout du gland et me tirer un petit cri de contentement. Puis je lui fait de nouveau avaler. Elle prend désormais la "chose" en main. Elle fait elle même le mouvement en veillant facilement à me masturber et me lécher en me succant. Visiblement novice il y a quelques instants, elle me tire désormais un vrai plaisir. Je peux la voir m'avaler la queue. Elle en est encore plus magnifique. Ne pouvant tenir très longtemps, je l'invite à revenir à ma hauteur, mon envie est trop forte, je veux manger sa chatte. Je veux jouer avec elle comme elle vient de le faire. Quelques baisers ca et là et me voilà entre ses cuisses. Je découvre une chatte blonde en ticket de métro. Le stricte minimum. Un pur bonheur, ses lévres sont déja trés sensibles sous mes doigts, je la sens frémissante à chacun de mes passages. Je pose ma langue. Un premier cri. Je continue en posant mon doigt sur son trou, juste pour en tirer une deuxième cri. Je joue désormais avec mon doigt qui entre et sort doucement, ma langue qui joue avec son clito. Elle mouille admirablement. Mon doigt rentre et sort mais rapidement elle me dit: "prend moi, j'ai envie". Je remonte donc pour commencer à l'embrasser. Toujours le même baiser enfantin. Allongé sur elle, je saisie ma queue, la présente et lui caresse doucement le clito. Ses jambes se croisées sur mes fesses me pressent. La pénétration est douce et je la sentir avec ma queue et la voir sur son visage. Elle sourit de plaisir. Nous sommes trempés de sueur. Je la pénètre et elle me presse d'augmenter le rythme avec ses jambes. Elle crit à tout rompre. Je vais jouir, je sens ce moment, je me verse en elle. Ruiné, je roule sur le coté, lui arrachant son dernier cri en me retirant.
Elle est resté sans dire mot contre moi. Elle s'est endormi ainsi. Quelques minutes plus tard, c'était moi.
A mon reveil, elle n'était plus là. Un mot sur la table: "merci pour tout, j'ai pris une de tes cartes, voici la mienne, appelle moi ce soir".
Merci à toi Malaurie.