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  • : Je suis divorcé et sur la route toute la semaine. Il y a longtemps que j'ai découvert qu'il était possible de rencontrer des femmes pour un soir ou plus. Voici le récits de mes rencontres et pourquoi pas les votres. wokidoki@free.fr
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 00:18

Ce soir, je dîne avec mon amie Ange. Nous nous connaissons depuis l’âge de 10 ans. Nous habitions le même quartier, allions dans la même école. Nous n’avions jamais eu d’histoire ensemble. A 14 ans, elle a rencontré celui qui est devenu sont mari par la suite. Elle est restée mariée 10 ans avant de s’apercevoir que ses cornes étaient plus grandes que son amour propre. Elle est venue habiter à la maison quelques mois, le temps de reprendre pied. Ce qui devait arriver est arrivé. Ce n’est pas un souvenir mémorable. Trop d’empressement, trop d’envies contenues durant toutes ses années et l’envie de comparer. Comparer avec sa mère.

 

 

Alors que j’avais 19 ans, je devais réviser pour mes examens. Les parents d’Ange avaient une maison de campagne à l’écart d’un village. Un vrai calme total et depuis le bac, j’avais pris l’habitude de réviser dans cette maison où tout le confort et de quoi se divertir était là : piscine, billard, flipper, petit sauna et un baby foot. La mère de Ange, une belle femme n’ayant pas encore atteint les 40 ans à ce moment là, n’était pas très grande, châtains très clairs bouclées et le corps d’une femme qui passe sa vie à la salle de sport, fine et musclée. Un beau visage pour rehausser le tout. Les bonnes blagues de gamins avaient été nombreuses durant très longtemps. Pour superviser les travaux d’été des jardiniers, elle décida de passer quelques jours avec moi. Ce n’était pas pour me gêner. Je cherchais le calme et le silence pour réviser mais un peu de compagnie le soir et le matin n’était pas de trop.

 

 

Le premier soir, n’ayant pas eu le temps de faire des courses, nous avons dîné au petit restaurant du coin. Le vin coula à flot et nous sommes rentré à pied. Sur le chemin, les allusions de cette femme n’étaient pas très claires. Elle me demandait si j’avais une amie et comment je la trouvais. Un peu jeune pour comprendre. Le vin n’était pas pour aider.

 

 

La journée suivante fut composée de révisions et piscine. La journée fut chaude. Le soir venu, je suis parti faire un tour en moto histoire de sentir le vent me fouetter. Madame était partie faire des courses. A mon retour, une bonne odeur avait envahit la maison. Madame devant les fourneaux préparait un bon repas dont je ne pourrai dire la composition. Par contre, je me souviens bien, que ma cuisinière avait revêtu une tenue bien légère. Un haut de maillot de bain et un short plus que mini. Ses seins étaient ronds et lourds. Une forme parfaite et on pouvait en deviner la pointe sans aucune hésitation. Son short donnait une belle image de ses fesses. La musculature de son postérieure était sans faille. Aucun point de graisse, pas de cellulite, le ventre plat et musclé, les cuisses fines et des genoux magnifiques. Cette femme n’avait  rien à envier  beaucoup de jeunettes.

 

 

Le repas fut un long moment de silence, de paroles insignifiantes, de sourires et rires presque idiots. Pour clôturer cette soirée, elle me proposa de faire un baby foot. Cela m’avait surpris sur le moment. Je ne comprenais pas le but. Mais arriver à la salle de jeu, elle m’expliqua les règles de la partie. A chaque but qu’elle marquait j’ôtais un de mes vêtements, pour elle, tous les deux buts compte tenu du nombre de ses vêtements. Si la veille ses propos n’étaient pas très clairs pour moi. Là, plus de doute possible. Je n’ai jamais eu l’ombre d’une seconde d’hésitation. Devant ce magnifique Bonzzini, je bénissais les heures passées au café à jouer. Pour l’histoire, j’étais très en avance à l’école. Dans ces conditions, il est difficile de se faire accepter par des jeunes qui ont 3 voir 4 ans d’avance sur vous. Un des moyens pour ce faire et d’avoir des centres d’intérêt commun où l’on excelle, dans mon cas, se fut le baby foot. Au premier engagement, j’ai vite compris que la partie serait rapide. Elle ne jouait jamais. Un premier but en deux passes et un second en trois. Elle me regarde et sans dire mot ôte son short. La voici uniquement avec son maillot de bain. Le bas de celui-ci est encore plus sexe que le haut. Les triangles sont minis. Et on repart pour un nouveau but puis un second. Son regard est des plus coquin et ne peut laisser aucun doute sur la finalité de ce match. Sans me quitter des yeux, elle tire sur le cordon du haut de maillot de bain. Elle laisse apparaître une magnifique paire de seins énormes. J’ai rarement revu une autre paire de seins de cette taille sur une femme pas très grande. Rond, gros et se tenant parfaitement. Avec ce même regard, elle me demanda de continuer cette partie. Un puis deux buts. Aucun doute également que je voulais finir cette partie rapidement. Elle ne lâchât pas immédiatement les poignées du baby foot. Pour avoir le lot du gagnant, je fais le tour du baby. Je pose ma main sur le nœud du bas de son maillot de bain. Ses mains ne bougent pas des poignées.  Je tire simplement le cordon qui se défait immédiatement et ce maillot glisse au sol. J’ai une vu magnifique sur ce fessier. Il est rebondit et je viens de remarquer qu’il n’y a aucune marque de bronzage. Elle sourit, me regarde, lâche les poignées, pose ses mains sur les miennes. Elle m’embrasse pour la première fois. Ce baiser est chaud. Je mesure la différence entre une gosse de mon âge et une femme avec l’expérience. Son baiser est une invitation, un souhait voir une provocation. Elle emmène mes mains sur ses fesses. C’est une invitation. Une invitation à la douceur. Je remarque bien sur instantanément la fermeté de ses fesses. Mais le plus remarquable, c’est sa peau. Sa douceur, même avec toutes ses années, reste pour moi un point de référence. Jamais aucune femme n’a eu cette douceur. J’en rêve encore. C’est un magnifique rêve que la caresser. Je prends mon pied à chaque instant. Mais Madame souhaite tout une même un peu plus que des caresses et des baisers. Mon sweat, mon tee short, mon short, mon caleçon ne sont plus qu’un souvenir en quelques secondes. Les deux grandes portes vitrées de la salle font entrer un air frais de début juin. Mais cela est agréable. Elle m’entraîne rapidement sur le canapé. Je souviens encore de sa couleur, rouge. Je suis assis et je n’ai qu’à regarder et apprécier. Elle me couvre de baisers, de caresses, son corps, ses seins m’effleurent et bientôt elle commence à poser sa langue sur ma queue. Le geste n’est pas très décis. Elle me regarde comme si elle demande une confirmation. Je ne sais pas trop comment lui dire oui, oui je veux sentir ses lèvres. Alors ne trouvant rien, je pose ma main sur ses cheveux et doucement je l’invite à continuer. Elle ne se fait pas prier. Ses lèvres m’enveloppent, sa bouche m’avale, sa langue m’effleure. Le moment est magique parce que je l’ai fantasmé bien des fois et là, je vois cette magnifique femme me sucer. Me sucer et par ses regards, me promettre bien des choses. Et d’ailleurs, ses choses arrivent. Sans un mot, elle se pose sur moi. Un nouveau baiser, long et torride me déchaîne. Mon érection est sans nom et elle est assise dessus. Je ne peux m’empêcher de la lever et de tenter de la pénétrer. Mais elle ne l’entend pas ainsi. Elle se relève, présente sa chatte à ma bouche, me prend par les cheveux et me guide. Je commence par poser ma langue sur ce clitoris ainsi offert. Il est chaud et humide. Elle est totalement épilée et son clito est petit. Je m’enivre à promener ma langue, à en faire le tour, à jouer avec. Elle gémit et j’aime. J’aime aussi lui faire pénétrer rapidement un doigt, puis deux. Je joue entre mes doigts et ma langue. Elle gémit de plus belle. Il est bon de sentir gémir madame sous mes doigts et ma langue. J’ai l’impression de la posséder. Elle a longtemps profité de ce traitement puis elle se remplace sur moi en prenant soin de poser ma queue sur sa chatte. Elle joue avec en se caressant puis se pose et s’enfonce lentement mais complètement. Ma queue est complètement enfouit dans sa chatte. Je lis sur son visage son plaisir. Elle commence un va et vient de fou. Le rythme est sans limite sans avoir besoin de moi. Je n’ai qu’à malaxer cette magnifique paire de seins qui s’offrent à moi tout comme ses fesses. Mais ce tempo m’envoie rapidement par delà le ciel, par delà le plaisir. Plaisir partagé au sourire qu’elle m’offre. Elle est magnifique dans la jouissance.

 

 

Nous sommes resté sans bouger longtemps. Mais la nuit, les deux jours qui suivirent furent encore plus chauds. La piscine, le lit, le billard, la table, le transat de la piscine, le mur, la douche, la baignoire et le sauna. J’ai découvert avec elle, le plaisir pour uniquement le plaisir sous toutes ses formes. Car nous avons fait l’amour, pris du plaisir pour le plaisir mais aussi baisé. C’est la première femme qui me demanda de la baiser, de l’humilier, de la rabaisser, de la fessée. J’ai découvert beaucoup.

 

 

Nous sommes régulièrement revu par la suite. Si l’on ne parle pas d’une fois où je l’ai baisé dans sa cuisine, il ne sait plus jamais rien passé. Nous n’en avons jamais parlé.

 Ange, elle ne sait rien et ce soir, nous n'avons rien fait.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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